
Comprendre la créatine.
Cet article vous permettra d’absolument tout comprendre sur la créatine, qu’est-ce que c’est, sa provenance, sa consommation et ses effets.
12 juillet 2025
L’épicatéchine connu pour retarder la limite naturel en diminuer le taux de myostatine. Un complément alimentaire qui n’est pas en vente dans tous les magasins qui se voit être réellement efficace pour les pratiquants de musculation.
L’épicatéchine, ce composé naturel que vous trouvez dans le cacao, fait beaucoup parler d’elle chez les pratiquants de musculation. Une étude récente a démontré qu’une supplémentation de seulement 150 mg d’épicatéchine pendant 7 jours a permis d’augmenter les niveaux de follistatine de près de 50% et de réduire la myostatine de 17% chez les participants [5]. Ces chiffres ouvrent des perspectives intéressantes pour dépasser vos limites naturelles de croissance musculaire.
Vous cherchez à optimiser vos gains avec des compléments naturels ? L’épicatéchine pourrait bien vous intéresser. Ce flavonoïde ne se contente pas d’améliorer la synthèse protéique – il agit également sur la production d’oxyde nitrique, la lipolyse, l’oxydation des acides gras et la sensibilité à l’insuline [1]. Les tests d’effort ont révélé une diminution de la fréquence cardiaque, de la consommation maximale d’oxygène et des niveaux de lactate plasmatique [1], des améliorations similaires à celles observées après un programme d’exercices aérobiques de courte durée [1].
Dans cet article, nous expliquerons ce qu’est l’épicatéchine dans un format détaillé pour que vous compreniez son fonctionnement et ses applications pratiques. Nous verrons comment elle agit dans votre organisme et surtout, comment elle pourrait vous aider à repousser vos limites naturelles en musculation. Vous découvrirez pourquoi ce complément suscite autant d’intérêt chez les sportifs et les chercheurs.
« L’épicatéchine (EPI) est un flavonoïde alimentaire présent dans de nombreux aliments et possédant diverses bioactivités. » — J. Wan, Lead author, peer-reviewed biomedical researcher
L’épicatéchine fait partie de la famille des flavonoïdes, plus précisément des flavanols, qui sont des composés polyphénoliques organiques aux puissantes propriétés antioxydantes [15]. Cette molécule naturelle se caractérise par sa structure unique qui existe sous différentes formes stéréo-isomères : (+)-épicatéchine, (-)-épicatéchine, (+)-catéchine et (-)-catéchine [1]. Parmi ces variantes, la forme (-)-épicatéchine présente la biodisponibilité la plus élevée dans notre organisme [1].
Vous trouverez l’épicatéchine naturellement dans plusieurs aliments de votre quotidien. Le cacao représente la source la plus concentrée de ce flavanol [15]. À l’état naturel, la fève de cacao contient environ 8% d’antioxydants [1]. Selon l’USDA, la poudre de cacao sec contient 196,37 mg d’épicatéchine sous forme d’isomère (-)-épicatéchine [1].
Par ailleurs, vous pouvez également trouver de l’épicatéchine dans :
Le thé vert et noir : ces deux variétés représentent 40% des apports en épicatéchine dans les populations européennes [15]
Le vin rouge : particulièrement dans ceux issus de merlot, pinot noir, cabernet franc et cabernet-sauvignon (environ 80 mg/l contre 20 mg/l pour le chardonnay et le sauvignon) [1]
Les pommes : une source courante et facilement accessible [15]
D’autres aliments : les mûres, le gingembre, les haricots [1] et le jus de pruneau [5]
Pour vous donner une idée concrète, un apport quotidien de 22 mg d’épicatéchine correspond à environ 6 tasses de thé noir, 54 grammes de chocolat noir ou 2-3 pommes [15]. Tous les produits contenant de l’épicatéchine se caractérisent généralement par un goût légèrement amer ou acide [5].
L’épicatéchine suscite un intérêt croissant chez les pratiquants de musculation en raison de ses effets remarquables sur le développement musculaire. Son mécanisme d’action principal réside dans sa capacité à inhiber la myostatine, une protéine qui limite naturellement la croissance musculaire [1]. L’épicatéchine est considérée comme le plus puissant bloqueur de myostatine naturel étudié à ce jour [15].
Elle augmente également la production de follistatine, une myochine qui favorise indirectement la croissance musculaire en entravant l’expression de la myostatine [1]. Des études ont démontré qu’une supplémentation en épicatéchine chez des participants de différents âges a confirmé une augmentation des niveaux de follistatine et une diminution des niveaux de myostatine [1].
Contrairement à d’autres compléments, l’épicatéchine n’altère pas le fonctionnement hormonal [5]. Cette caractéristique en fait un supplément particulièrement intéressant tant pour les hommes que pour les femmes, sans risque d’effets secondaires hormonaux indésirables [22].
L’épicatéchine améliore également la synthèse protéique et l’hypertrophie musculaire [5]. Elle agit sur la circulation sanguine en augmentant la production d’oxyde nitrique, ce qui optimise l’oxygénation des muscles et favorise le métabolisme cellulaire [5]. Ces propriétés expliquent pourquoi de nombreux utilisateurs rapportent des gains de force, une récupération plus rapide entre les séances et une meilleure endurance [5].
L’épicatéchine joue un rôle dans la biogénèse des mitochondries, imitant ainsi les effets de l’exercice en aérobie [13]. Cette action contribue à renforcer l’endurance musculaire et à optimiser les performances sportives globales.
Pour comprendre pourquoi l’épicatéchine suscite tant d’intérêt en musculation, il faut d’abord saisir ce qui limite naturellement votre développement musculaire. La myostatine joue un rôle central dans ce processus, agissant comme un véritable « frein biologique » à l’hypertrophie musculaire.
La myostatine (MSTN), également connue sous le nom de « Growth/Differentiation Factor 8 » (GDF-8), est une protéine de 43 kDa exprimée principalement dans le muscle chez les mammifères [8]. Cette molécule fonctionne comme un régulateur négatif majeur du muscle strié squelettique [9]. Autrement dit, elle agit comme un facteur de restriction qui limite spécifiquement la croissance excessive des muscles.
L’être humain possède naturellement des niveaux élevés de myostatine, contrairement à d’autres espèces [4]. Cette particularité résulte de l’évolution – nous sommes l’une des espèces les plus endurantes de la planète, en partie grâce à cette régulation musculaire qui optimise notre métabolisme énergétique et notre endurance [4].
Le gène MSTN codant pour la myostatine se situe sur le chromosome 2 chez l’humain [10]. Les mutations qui conduisent à une perte de fonction de cette protéine peuvent induire une prolifération impressionnante de la musculature striée [10]. Ce phénomène a été observé chez plusieurs espèces animales, notamment les vaches belges de race Blanc Bleu qui présentent environ 20% de masse musculaire supplémentaire [10].
La myostatine limite la croissance musculaire par un mécanisme biochimique précis. Une fois synthétisée, elle est libérée dans le tissu musculaire environnant [4]. Elle se lie ensuite à des récepteurs spécifiques présents sur les cellules musculaires, notamment les récepteurs de l’activine de type II (ActRII) et les récepteurs de l’activine de type IIB (ActRIIB) [4].
Cette liaison déclenche une cascade de réactions intracellulaires qui inhibent la croissance musculaire [4]. Plus précisément, cela active la voie de signalisation Smad, impliquant des protéines appelées Smad2 et Smad3 [4]. Au niveau moléculaire, la myostatine entraîne :
La suppression de la prolifération des cellules satellites (cellules souches musculaires)
L’inhibition de la différenciation des cellules musculaires immatures
La limitation de la formation de nouvelles cellules musculaires et leur hypertrophie
La taille du muscle dépend d’un équilibre dynamique entre la dégradation et la synthèse de ses protéines constituantes [9]. La myostatine perturbe cet équilibre en faveur de la dégradation. Elle interfère également avec la voie de signalisation IGF1/Akt/mTOR, qui représente la principale voie de stimulation de la synthèse des protéines dans le muscle [9].
Un phénomène particulièrement intéressant concerne l’évolution des niveaux de myostatine avec l’âge. De nombreuses études ont démontré que lorsque l’être humain vieillit, ses niveaux de myostatine augmentent considérablement [4]. Cette augmentation est l’un des mécanismes responsables de la sarcopénie – la perte progressive de masse musculaire liée à l’âge [3].
Cette perte musculaire n’est pas anodine : nous perdons près de 50% de notre masse musculaire à 80 ans [3]. Cependant, des recherches ont révélé un fait fascinant : les centenaires présentent souvent des taux accrus d’une variante du gène de la myostatine, et une personne possédant cette variante aurait presque 4 fois plus de chances d’atteindre l’âge de 100 ans [3].
Des études ont montré que l’inhibition de l’activité de la myostatine peut permettre de prolonger la prolifération des cellules musculaires, augmenter la masse et la puissance musculaires [6]. C’est précisément ici que l’épicatéchine intervient, en tant qu’inhibiteur naturel de la myostatine, offrant ainsi une perspective prometteuse pour maintenir ou développer la masse musculaire, même avec l’avancée en âge.
« Les effets sont associés à l’activation d’intermédiaires dans des voies de signalisation spécifiques, telles que les MAPK, Akt et AMPK, qui dépendent de l’activation des récepteurs transmembranaires. » — C. Gonzalez-Ruiz, Lead author, peer-reviewed biomedical researcher
Doctor
L’action de l’épicatéchine sur votre développement musculaire repose sur des mécanismes biologiques précis. Ce flavonoïde naturel agit sur plusieurs voies métaboliques essentielles pour stimuler la croissance musculaire sans perturber votre équilibre hormonal.
La follistatine représente l’un des régulateurs positifs les plus puissants de la croissance musculaire. Les recherches démontrent que l’épicatéchine augmente significativement les niveaux de cette protéine dans l’organisme. Les études révèlent qu’une supplémentation en épicatéchine a permis d’améliorer le rapport follistatine/myostatine de 49% chez des sujets humains [3].
Cette augmentation est particulièrement marquée chez les individus plus âgés. Dans une étude sur des souris âgées, l’administration d’épicatéchine à raison de 1 mg par kg de poids corporel deux fois par jour a entraîné une augmentation de 30% des niveaux de follistatine après seulement deux semaines [1]. Cette action est fondamentale car la surexpression de follistatine peut entraîner une augmentation spectaculaire de la masse musculaire, allant de 194% à 327% selon certaines recherches [11].
Parallèlement à son effet sur la follistatine, l’épicatéchine diminue directement les taux de myostatine. Des études montrent qu’une dose quotidienne de 100 mg d’épicatéchine peut diviser par deux la concentration de myostatine [12], faisant de ce composé l’un des inhibiteurs naturels les plus efficaces connus à ce jour.
Chez les souris jeunes, une réduction de 15% des niveaux de myostatine a été observée après deux semaines de supplémentation, tandis que chez les souris âgées, cette réduction atteignait 18% [1]. Cette double action – augmentation de la follistatine et diminution de la myostatine – crée un environnement biochimique particulièrement favorable au développement musculaire.
Au-delà de son action sur l’axe follistatine/myostatine, l’épicatéchine stimule directement la synthèse protéique musculaire. Elle améliore la biogénèse des mitochondries et la régénération des muscles squelettiques [7], tout en augmentant l’expression de protéines impliquées dans le maintien de l’intégrité de la membrane des fibres musculaires.
Les effets de l’épicatéchine sur le métabolisme musculaire sont remarquablement similaires à ceux observés après un programme d’exercices aérobiques de courte durée (8 à 12 semaines) [13]. Ces bénéfices incluent une diminution de la fréquence cardiaque, du VO2/Kg et des taux plasmatiques de lactate, contribuant ainsi à améliorer non seulement la masse musculaire, mais également l’endurance et la récupération.
Concrètement, cette action sur plusieurs fronts explique pourquoi l’épicatéchine constitue un complément particulièrement intéressant pour les pratiquants de musculation cherchant à optimiser leurs gains musculaires de façon naturelle.
Les recherches sur l’épicatéchine révèlent des bienfaits qui dépassent largement le cadre de la musculation. Ce flavonoïde naturel agit sur plusieurs aspects de votre physiologie, offrant des avantages tant pour les athlètes que pour les personnes soucieuses de leur santé globale.
L’épicatéchine favorise la croissance musculaire par son action directe sur la balance myostatine/follistatine. Les études montrent qu’une supplémentation de seulement 150 mg pendant 7 jours augmente les niveaux de follistatine de près de 50% tout en réduisant la myostatine de 17%. Elle stimule également la synthèse protéique et améliore la force globale, ce qui explique son attrait chez les pratiquants de fitness.
Cette molécule stimule la biogénèse mitochondriale, améliorant considérablement votre endurance musculaire. Son action reproduit certains effets de l’entraînement aérobique – diminution de la fréquence cardiaque lors d’efforts, optimisation de la consommation d’oxygène et réduction des taux de lactate plasmatique.
L’épicatéchine augmente la production d’oxyde nitrique, entraînant une vasodilatation des vaisseaux sanguins. Ce mécanisme intensifie l’afflux sanguin vers vos muscles, créant cet effet « pump » recherché par les bodybuilders tout en améliorant l’apport en nutriments et l’oxygénation des tissus musculaires.
Au-delà de ses effets musculaires, l’épicatéchine améliore votre sensibilité à l’insuline et régule efficacement la glycémie. Cette propriété en fait un complément particulièrement intéressant si vous êtes atteint de diabète de type 2 ou si vous cherchez à optimiser votre métabolisme des glucides.
L’épicatéchine exerce une action protectrice sur votre système cardiovasculaire en réduisant l’oxydation des LDL (mauvais cholestérol) et en améliorant la fonction endothéliale. Ces effets contribuent à diminuer le risque de maladies coronariennes et d’accidents vasculaires cérébraux.
L’atout majeur de l’épicatéchine réside dans sa capacité à repousser vos limites naturelles de développement musculaire. Elle contrecarre l’augmentation de la myostatine liée à l’âge, vous permettant de maintenir ou même de développer votre masse musculaire à un âge avancé. Cette propriété offre une solution potentielle contre la sarcopénie.
Maintenant que vous comprenez comment l’épicatéchine agit sur votre organisme, voyons comment l’utiliser concrètement. Voici les recommandations pratiques basées sur les données scientifiques actuelles pour optimiser vos résultats.
Le dosage standard varie entre 150 mg et 250 mg par jour pour les adultes [5]. Pour les hommes pratiquant la musculation, je recommande généralement 150-200 mg quotidiennement, tandis que pour les femmes, une dose de 50 à 100 mg par jour est plus adaptée [14].
Si vous débutez avec ce complément, commencez par une dose plus faible que celle recommandée, puis augmentez progressivement selon vos ressentis. Vous pourriez débuter avec 300 mg puis ajuster jusqu’à 500 mg si vous ne ressentez pas les effets recherchés [15].
Important : La consommation d’environ 50g de chocolat noir (plus de 85% de pureté) fournit approximativement 75mg d’épicatéchine [1]. Néanmoins, cette option ne remplace pas un supplément spécifique.
Une cure d’épicatéchine est généralement recommandée sur 4 à 8 semaines [5]. Cependant, certains experts suggèrent qu’il n’est pas nécessaire de faire des cycles, car le corps humain ne développe aucune accoutumance à l’épicatéchine [15].
Les effets sur la performance et la récupération peuvent apparaître dès les premières semaines d’utilisation régulière. Les bénéfices sur la masse musculaire deviennent plus visibles après 4 à 8 semaines de prise continue [15].
L’épicatéchine est considérée comme sûre et bien tolérée. À ce jour, aucun effet secondaire majeur n’a été rapporté, à condition de respecter les doses recommandées [15]. En revanche, des doses excessives pourraient entraîner des effets indésirables comme une peau grasse, des nausées et une accélération du rythme cardiaque [14].
Par ailleurs, l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) indique que des doses de catéchines supérieures ou égales à 800 mg/jour pourraient causer des problèmes hépatiques [2].
Des études cliniques ont démontré qu’une supplémentation en épicatéchine pendant 8 semaines chez des patients atteints de myopathie de Becker a permis d’améliorer la biogénèse des mitochondries et la régénération des muscles squelettiques [7]. Ces améliorations sont similaires à celles observées après un programme d’exercices aérobiques de courte durée [13].
Oui, l’épicatéchine peut être associée efficacement à d’autres suppléments. Les combinaisons les plus courantes et efficaces incluent [15] :
La créatine : pour augmenter la force et l’énergie
La turkesterone ou l’ashwagandha : pour renforcer les effets sur la prise de masse et la récupération
Ces associations peuvent potentialiser les effets anabolisants et améliorer vos performances sportives globales.
L’épicatéchine représente une option intéressante pour vous qui cherchez à repousser vos limites naturelles en musculation. Ce flavonoïde du cacao agit sur plusieurs fronts biologiques simultanément. Elle réduit la myostatine qui freine naturellement votre croissance musculaire et augmente la follistatine qui favorise le développement des fibres musculaires.
Contrairement à d’autres suppléments, l’épicatéchine présente l’avantage d’être naturelle et de ne pas perturber votre équilibre hormonal. Cette caractéristique la rend adaptée tant aux hommes qu’aux femmes, sans risque d’effets secondaires majeurs si vous respectez les doses recommandées.
Ses bénéfices dépassent la musculation. Amélioration de l’endurance, optimisation de la circulation sanguine, régulation de la glycémie, soutien cardiovasculaire – l’épicatéchine offre plusieurs avantages pour votre santé globale.
Les recherches confirment son potentiel, notamment pour contrecarrer la sarcopénie liée à l’âge. Elle ne remplacera jamais un entraînement rigoureux et une alimentation équilibrée, mais elle pourrait constituer un allié intéressant dans votre progression physique, particulièrement lorsque vous atteignez un plateau.
Que vous soyez un athlète cherchant à maximiser vos performances ou simplement soucieux de préserver votre masse musculaire avec l’âge, l’épicatéchine mérite votre attention. Son action naturelle sur l’axe myostatine/follistatine offre une approche différente pour dépasser les limites que la génétique vous impose – sans compromettre votre santé à long terme.
C’est pour cela que je vous conseille de considérer l’épicatéchine si vous cherchez un complément naturel pour optimiser vos résultats en musculation, tout en gardant à l’esprit qu’elle reste un complément à une base solide d’entraînement et de nutrition.
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L’épicatéchine un complément alimentaire peu connu qui se voit être très efficace pour les pratiquants de musculation.